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La ligne "Azur" est un dispositif qui dépend de l’association Sida Info Service et qui produit des documents "pédagogiques" pour aborder auprès des jeunes et des élèves les questions liées à l’orientation sexuelle, ainsi qu’à l’identité sexuelle et l’identité de genre.

Cette association, tout comme ce dispositif, bénéficie d’un soutien officiel de la part du ministère de l’Education nationale.

Ainsi, le 26 septembre 2012, Vincent Peillon a accordé un agrément national à cette association afin de lui permettre d’intervenir dans les établissements scolaires.

Le 4 janvier 2013, Vincent Peillon va plus loin et il demande à l’ensemble des recteurs de s’appuyer sur le dispositif de la "Ligne Azur" et d’en faire la promotion. (Circulaire du 4 janvier 2013 )

Une association militante influencée par la "théorie du genre"

Cette association met à disposition des élèves un dictionnaire, dont certaines des définitions reprennent les thèses les plus radicales de la théorie du genre.

Ainsi, la définition de l’identité de genre présente celle-ci comme totalement déconnectée de la réalité biologique des jeunes. La formulation de la définition laisse penser que si pour certains l’identité de genre et le sexe biologique coïncident, ce n’est que le fruit du hasard. Sic !

Modification du site suite à la polémique

Fin janvier 2014, suite à la polémique sur la théorie du genre, la ligne Azur a modifié cette définition sur son site.

Pendant une semaine, le site de la ligne Azur n’était plus disponible sur internet.

Il a été remis en ligne le 10 février avec un avertissement, notamment sur la question liée à l’identité de genre faisant référence à l’avis très radical de la CNCDH qui utilise le terme de transidentité :

"Le terme de « transidentité » exprime le décalage que ressentent les personnes transidentitaires entre leur sexe biologique et leur identité psychosociale ou « identité de genre ». Cette notion englobe plusieurs réalités, parmi lesquelles celle des transsexuels qui ont bénéficié d’une chirurgie ou d’un traitement hormonal de réassignation sexuelle, celle des transgenres pour lesquels l’identité de genre ne correspond pas au sexe biologique et qui n’ont pas entamé de processus médical de réassignation sexuelle ; celle enfin des queer qui refusent la caractérisation binaire homme/femme. "

(Mise à jour de cet article le 10 février 2014)